
Les êtres humains se construisent encore pour beaucoup autour de la notion de souffrance. C'est une des raisons pour lesquelles ils continuent de vivre dans un monde violent sans chercher à en sortir pour de bon. Piégés par leurs habitudes et leur héritage psychologique, ils pensent que souffrir fait partie de la vie. Qu'ils la fuient, qu'ils la craignent ou qu'ils l'acceptent, ils se nourrissent de nombreuses illusions qui les conservent dans cet état de dépendance à la souffrance qui s'immisce dans leurs pensées, leurs actes, leurs croyances, leurs paroles. Nombreux sont ceux qui s'identifient à elle et cultivent la culpabilité, l'envie de se venger, de saboter, de punir l'autre ou soi-même.
Un moyen pour sortir de ce cercle vicieux est d'observer son mental et de suivre son mode de fonctionnement. En effectuant ce travail minutieux sans chercher à analyser les pensées qui viennent, sans s'identifier à elles, chacun peut alors prendre conscience de la violence contenue dans celles-ci. A force d'observation, elles finissent par perdre de leur puissance pour disparaitre totalement.
En même temps, la voix de la conscience se fait plus forte et une transformation importante peut alors se produire dans la vie de chacun.
Un moyen pour sortir de ce cercle vicieux est d'observer son mental et de suivre son mode de fonctionnement. En effectuant ce travail minutieux sans chercher à analyser les pensées qui viennent, sans s'identifier à elles, chacun peut alors prendre conscience de la violence contenue dans celles-ci. A force d'observation, elles finissent par perdre de leur puissance pour disparaitre totalement.
En même temps, la voix de la conscience se fait plus forte et une transformation importante peut alors se produire dans la vie de chacun.