
L’Epreuve du masculin négatif est le passage de la servilité à la serviabilité.
Servile, il sera faible, abusé et tourmenté. Cela fera de lui un blessé aigri et vengeur. Il pourra devenir tyrannique, malicieux. La haine le gagnera. Il voudra à son tour se servir et abuser les faibles. Il abusera les féminins en lieu et place de les protéger et de les servir. C’est ainsi que de servile puis vengeur il doit devenir serviable.
C’est tout un chemin d’acceptation. Accepter d’avoir été le serf esclave abusé, accepter d’être devenu le dominant à son tour, perdre ses attraits à la tentation et à la domination malsaine pour enfin renouer avec son origine céleste : la grandeur, le sacré, la sagesse, la noblesse.
D’une servilité, puis d’une puissance dominatrice il deviendra humble et serviteur du Grand Tout.
C’est à ce moment là qu’il deviendra un grand sage. Il sera aimé des femmes qu’il saura honorer. Il honorera sa couronne sacrée. Le masculin devra donc passer outre ses outrages d’antan, accepter, pardonner et se pardonner sa haine. C’est ainsi qu’il nourrira en lui la compassion, l’amour de ses prochains. Il deviendra alors un 'beau maitre du coeur' sachant utiliser son énergie plutonienne.
De servile à dictateur, il deviendra un Abbé Pierre, un Gandhi, empli de grâce et de respect. A bien y regarder ce passage est celui de la haine à l’amour. Il devra retrouver l’amour perdu. Il devra arrêter de calculer avec son cerveau gauche masculin et se laisser guider par son cerveau droit féminin. Le féminin n’est-il pas l’initiateur du masculin ?
Pour autant, un féminin duel est rempli de haine ! Elle a la haine de l’homme de pouvoir. Se pardonner sa propre haine est la clé. C’est pardonner sa guerrière d’avoir pris une place d’homme, un inversement ! Quand le masculin est dominant, le féminin est castrateur. C’est la dualité destructrice où la femme et l’homme cherchent à se voler leur propre pouvoir ! Le masculin veut posséder la coupe réceptacle d’amour et la puissance de la haine et ce, afin de posséder la guerrière destructrice. Le féminin veut posséder le glaive créateur et la puissance du pouvoir et ce, afin de posséder le guerrier destructeur. Dans les deux cas, l’un et l’autre cherchent à se posséder. Pour ce faire, il faut posséder, c'est-à-dire détruire l’autre : haine et pouvoir.
La vie de tous les jours est ce triste spectacle à la fois visible et invisible. A la fois extérieur et intérieur. D’ailleurs, si nous le vivons à l’extérieur c’est que le miroir de la vie ne fait que nous montrer ce qui se passe à l’intérieur !
L'homme et la femme doivent chacun reprendre leur propre place ! Elle, réceptrice de l’amour et lui, manifestant de l’amour. La femme joue un grand rôle dans ce passage de la libération à la fois du mâle dominant et de la femme castratrice. C’est ainsi qu’il devra toucher avec son cœur l’amour, la sexualité sacrée. D’une sexualité bestiale il devra s’ouvrir à une sexualité tantrique où ni abusé ni abuseur ne subsistent.
C’est l’expérience de la fusion, l’expérience du tout. Epreuve Sacrée !
Servile, il sera faible, abusé et tourmenté. Cela fera de lui un blessé aigri et vengeur. Il pourra devenir tyrannique, malicieux. La haine le gagnera. Il voudra à son tour se servir et abuser les faibles. Il abusera les féminins en lieu et place de les protéger et de les servir. C’est ainsi que de servile puis vengeur il doit devenir serviable.
C’est tout un chemin d’acceptation. Accepter d’avoir été le serf esclave abusé, accepter d’être devenu le dominant à son tour, perdre ses attraits à la tentation et à la domination malsaine pour enfin renouer avec son origine céleste : la grandeur, le sacré, la sagesse, la noblesse.
D’une servilité, puis d’une puissance dominatrice il deviendra humble et serviteur du Grand Tout.
C’est à ce moment là qu’il deviendra un grand sage. Il sera aimé des femmes qu’il saura honorer. Il honorera sa couronne sacrée. Le masculin devra donc passer outre ses outrages d’antan, accepter, pardonner et se pardonner sa haine. C’est ainsi qu’il nourrira en lui la compassion, l’amour de ses prochains. Il deviendra alors un 'beau maitre du coeur' sachant utiliser son énergie plutonienne.
De servile à dictateur, il deviendra un Abbé Pierre, un Gandhi, empli de grâce et de respect. A bien y regarder ce passage est celui de la haine à l’amour. Il devra retrouver l’amour perdu. Il devra arrêter de calculer avec son cerveau gauche masculin et se laisser guider par son cerveau droit féminin. Le féminin n’est-il pas l’initiateur du masculin ?
Pour autant, un féminin duel est rempli de haine ! Elle a la haine de l’homme de pouvoir. Se pardonner sa propre haine est la clé. C’est pardonner sa guerrière d’avoir pris une place d’homme, un inversement ! Quand le masculin est dominant, le féminin est castrateur. C’est la dualité destructrice où la femme et l’homme cherchent à se voler leur propre pouvoir ! Le masculin veut posséder la coupe réceptacle d’amour et la puissance de la haine et ce, afin de posséder la guerrière destructrice. Le féminin veut posséder le glaive créateur et la puissance du pouvoir et ce, afin de posséder le guerrier destructeur. Dans les deux cas, l’un et l’autre cherchent à se posséder. Pour ce faire, il faut posséder, c'est-à-dire détruire l’autre : haine et pouvoir.
La vie de tous les jours est ce triste spectacle à la fois visible et invisible. A la fois extérieur et intérieur. D’ailleurs, si nous le vivons à l’extérieur c’est que le miroir de la vie ne fait que nous montrer ce qui se passe à l’intérieur !
L'homme et la femme doivent chacun reprendre leur propre place ! Elle, réceptrice de l’amour et lui, manifestant de l’amour. La femme joue un grand rôle dans ce passage de la libération à la fois du mâle dominant et de la femme castratrice. C’est ainsi qu’il devra toucher avec son cœur l’amour, la sexualité sacrée. D’une sexualité bestiale il devra s’ouvrir à une sexualité tantrique où ni abusé ni abuseur ne subsistent.
C’est l’expérience de la fusion, l’expérience du tout. Epreuve Sacrée !