
'Hanblecheya, 'pleurer pour une vision' signifie en indien, partir en Quête de Vision seul dans la nature et rester là, sans manger ni boire ou avec très peu de nourriture pour les filles, pendant quatre jours et quatre nuits, en priant pour une réponse des esprits.
Nous n’avons plus en Occident ce type de rite qui nous permet de tout arrêter, de nous retirer, de faire le point entre deux cycles de vie et de repartir l'esprit éclairé !
Il faut cependant être conscient qu'une Quête de vision n’est ni un cours, ni un groupe de développement personnel, ni une forme de psychothérapie. Il s’agit d’un puissant rite de passage vécu en pleine nature qui, comme tous les rites initiatiques, est basé sur le fait de mourir et de renaître symboliquement.
C’est une des choses les plus difficiles qu’un être humain puisse expérimenter. Mais le résultat est à la hauteur du défi !
Le cœur de l’expérience consiste essentiellement en quatre choses : être seul (solitude), jeûner (vide), être exposé aux forces de la nature (vulnérabilité), apprendre à ne compter que sur soi (confiance). Tous les ingrédients d’un passage existentiel réussi.
La Quête de vision s’adresse principalement aux personnes qui vivent une transition majeure et qui veulent marquer cette évolution sous une forme plus spirituelle que psychologique. Elles ressentent le besoin profond de plus de clarté concernant le sens ou la direction de leur vie.
Certains quêteurs se retrouvent à la croisée de chemins, dans un temps de brume et d’errance ou à la fin d’un cycle - départ de la maison, changement de carrière, divorce, mise à la retraite, perte d’un être cher, crise spirituelle, remises en question du milieu de la vie, etc.), ou veulent célébrer le début d’un nouveau cycle.
Ces inévitables changements sont souvent traumatisants dans une culture comme la nôtre. Ils ne sont pas célébrés comme des évènements de maturation mais plutôt perçus comme des échecs lourds à porter et à supporter.
La Quête de vision en tant que rite d’initiation aux mystères de l’existence est donc aussi un acte de reliance aux cultures ancestrales significatif dans une société qui ne sait pas comment marquer les passages dans le labyrinthe de la vie.
Maintenant, pour recevoir une vision, il est impératif de se préparer et se donner complètement à ce défi. Une bonne condition physique et mentale en plus d'une expérience chamanique sont plus que nécessaires pour s'autoriser à vivre le rite ! Les personnes attirées par la spiritualité de la nature sont majoritairement comblées par leur expérience !
Aho Mitakuye Oyasin ! Nous sommes tous reliés.
Nous n’avons plus en Occident ce type de rite qui nous permet de tout arrêter, de nous retirer, de faire le point entre deux cycles de vie et de repartir l'esprit éclairé !
Il faut cependant être conscient qu'une Quête de vision n’est ni un cours, ni un groupe de développement personnel, ni une forme de psychothérapie. Il s’agit d’un puissant rite de passage vécu en pleine nature qui, comme tous les rites initiatiques, est basé sur le fait de mourir et de renaître symboliquement.
C’est une des choses les plus difficiles qu’un être humain puisse expérimenter. Mais le résultat est à la hauteur du défi !
Le cœur de l’expérience consiste essentiellement en quatre choses : être seul (solitude), jeûner (vide), être exposé aux forces de la nature (vulnérabilité), apprendre à ne compter que sur soi (confiance). Tous les ingrédients d’un passage existentiel réussi.
La Quête de vision s’adresse principalement aux personnes qui vivent une transition majeure et qui veulent marquer cette évolution sous une forme plus spirituelle que psychologique. Elles ressentent le besoin profond de plus de clarté concernant le sens ou la direction de leur vie.
Certains quêteurs se retrouvent à la croisée de chemins, dans un temps de brume et d’errance ou à la fin d’un cycle - départ de la maison, changement de carrière, divorce, mise à la retraite, perte d’un être cher, crise spirituelle, remises en question du milieu de la vie, etc.), ou veulent célébrer le début d’un nouveau cycle.
Ces inévitables changements sont souvent traumatisants dans une culture comme la nôtre. Ils ne sont pas célébrés comme des évènements de maturation mais plutôt perçus comme des échecs lourds à porter et à supporter.
La Quête de vision en tant que rite d’initiation aux mystères de l’existence est donc aussi un acte de reliance aux cultures ancestrales significatif dans une société qui ne sait pas comment marquer les passages dans le labyrinthe de la vie.
Maintenant, pour recevoir une vision, il est impératif de se préparer et se donner complètement à ce défi. Une bonne condition physique et mentale en plus d'une expérience chamanique sont plus que nécessaires pour s'autoriser à vivre le rite ! Les personnes attirées par la spiritualité de la nature sont majoritairement comblées par leur expérience !
Aho Mitakuye Oyasin ! Nous sommes tous reliés.